SCX10 Axial - Projet Ford F100 1966.

salut moi sur le hilux l'habitacle tien avec trois cornières en plastique carte ,une de chaque cotes et une a l'arrière de la carrosserie,si non avec deux petites traverses en travers de la carrosserie ou du chassie a toi de voir le plus pratique et esthétique, et il est superbe ton bronco j'adore il a une sacrée gueule beau boulot bravos

Alors j'ai effectivement pensé aussi aux cornières en plastique et c'est ce que j'ai fait. L'habitacle tient parfaitement sous la carrosserie, mais un autre problème survient auquel je ne m'y attendais pas. Le fond de l'habitacle touche la batterie et le haut du carter de transmission.

En somme, il va falloir que je procède à des découpes sur la banquette rouge et toute la largeur du plancher avant de masquer le tout avec de la carte plastique. Du boulot en perspective...

salut bon courage a toi et je bave en voyant le boulot que tu a effectué

c'est pas jouable de rehaussé juste le dossier de la banquette

Dédé a écrit:

c'est pas jouable de rehaussé juste le dossier de la banquette

Je n'ai absolument pas compris ce que tu veux dire, mais je peux t'affirmer que c'est bien plus qu'une simple hauteur de banquette !

En tous les cas, l'habitacle a été découpé avant de recevoir un nouveau plancher un nouveau tunnel de transmission fait avec de la carte plastique. Une modification entraînant une autre, il va sans doute falloir que je lime une partie de mon toutou pour pouvoir le caser dans son emplacement. C'est dommage, vu comment il est bien fichu...

Salut à tous !

Un petit coup de dépoussiérage, car j’aimerais vous présenter le scale sur lequel je travaille en ce moment. Depuis le temps qu’il marine dans ma chambre, soit 2 ans, j’ai voulu continuer sa construction et surtout le terminer pour profiter un peu de mon bestiau à roues motrices et directrices.




A la base, c’est un Axial SCX-10, mais il ne s’agissait pas du kit puisqu'il s'agit bien d’un assemblage de pièces détachées achetées séparément ! L’explication vient du fait qu’à un moment donné je voulais me construire un engin avec seulement les ponts et le chassis du SCX-10. Le projet ayant été abandonné, j’ai donc décidé de me faire un « truggy » pour faire du gros franchissement. Bref, un rock-crawler mais avec l’esthétique et la conception d’un scale.
Les truggys sont des engins que j’apprécie beaucoup. Dans ce domaine, il y a deux types de constructions possibles ; soit on part d’un 4x4 ou un pick-up existant et on enlève tout le superflu, soit on construit un chassis tubulaire sur-mesure. Pour ma part, je préfère le premier pour son côté rustique et dépouillé, mais ultra-efficace sur le terrain.

Ce projet m’a permis de tester toutes sortes de matériel comme les ponts portiques de 3Racing, absolument médiocre en terme de robustesse. Le moteur en 55 tours était très coupleux, rendant ainsi mon scale aussi lent mais aussi puissant qu’un char-d’assaut. Rien ne l’arrêtait.
Sans plus tarder, je vais vous présenter en détail mes travaux depuis le début de la semaine.

Pont avant, y’a du boulot !
C’est sans doute la partie qui m’aura demandé un travail conséquent. Le problème se situait au niveau du servo de direction. Si je me contente du montage d’origine, c’est-à-dire sur le pont, alors ça coince avec la platine radio sur laquelle le variateur sera fixé. Seule solution, rehausser la platine, augmentant ainsi le centre de gravité et comprimant l’espace entre le sommet du variateur et la carrosserie.
D’où la solution de monter le servo sur la platine radio, et de cogiter sur le montage d’une barre Panhard rendue obligatoire pour assurer le bon fonctionnement des suspensions. Ma première tentative il y a 2 ans était un échec car les roues ne braquaient pas à fond. D’aillleurs, on braquait mieux d’un côté que de l’autre ! J’avais commis l’erreur de placer le servo de direction bien en retrait par rapport à la barre de direction.

La barre Panhard a été cintrée avec ma lampe à souder pour éviter qu’elle ne touche la barre centrale du pont. Cette dernière a reçu la même procédure de fabrication avec une tige filetée M3 et un cintrage à chaud.



La platine radio.
Indissociable du montage de mon servo de direction, la platine radio doit aussi supporter la batterie placée en position transversale vers l’avant. La place disponible est juste suffisante pour une Lipo 2S ou une NiMh classique en 7.2 Volts.  La platine radio et le support de batterie ont été réalisés dans une plaque d’epoxy. Ce matériau est facile à travailler, mais ne se prête pas au pliage. Voilà pourquoi il m’a fallu les relier avec une pièce en alu de 1.5mm d’épaisseur, véritable colonne vertébrale pour ces platines. Pour le support de batterie, la principale différence par rapport à mes anciennes réalisations, c’est le choix du collage des équerres en PVC plutôt que de percer des tas de trous et faire passer des colonnettes en alu.

Moteur !
Comme précisé en intro, mon premier moteur sur ce chassis a été le 55 tours, un moteur à balais de chez RC4WD. Son couple était énorme et m’a aidé à franchir des obstacles sans broncher, mais son principal défaut était son manque de puissance, pénalisant pour la vitesse de pointe. En franchissement, ce n’est pas un aspect important, mais on se traîne quand même la b*te avec ce moulin. Voilà pourquoi j’ai opté pour un 35 tours bobiné chez « Holmes Hobb ies ».
Le variateur restera le Novak Rooster Crawler acheté d’occasion. Quant à la transmission Axial d’origine, elle a reçu un capot de protection sorti seulement quelques années plus tard.

L’arceau de sécurité arrière.
Ce travail sur l’arceau ne provient pas de moi, en effet je le dois plutôt à une personne que j’appréciais beaucoup, à savoir « lucho77 ». Il n’est pas inscrit sur Vintage RC, mais son travail est excellent. En observant son œuvre, on se rend compte de la qualité d’assemblage et de ses soudures. C’est droit, symétrique (peut-être pas au micron près, mais quand même), et question solidité je ne m’inquiète pas. Petit détail, pour l’ancrage des amortisseurs hydrauliques, il s’était servi de maillons de chaînes qu’il a soudé au reste de l’arceau ! Manque plus qu’un bain dans de l’acide avant de procéder à la mise en peinture.



Le treuil.
J’ai un bouledogue à l’avant ! Non mais sans rire, c’est le Bulldog de chez RC4WD qui me sert de treuil, avec son câble métallique remplacé par du fil de pêche pour la carpe, trouvé chez Décathlon, toujours grâce aux conseils de « lucho77 ».
La plus grande différence se situe dans l’installation de ce treuil, désormais planqué derrière la carrosserie, et non plus à l’extérieur.

La carrosserie.
Autrefois, j’avais opté pour le Ford Bronco 1973 de chez Tamiya. C’était la seule version la plus réaliste dans ses proportions, surtout en comparaison avec Pro-Line. Seulement j’avais foiré la découpe des passages de roues avant, et puis un Ford Bronco sans la partie arrière, ça n’existe pas ! Or j’ai fait l’inverse et c’était laid. Voilà pourquoi j’ai bazardé cette carro au profit du Chevrolet Blazer K5 version pick-up. C’est un retour aux sources car mon choix s’était porté sur la même carrosserie pour mon premier scale avec le chassis fabriqué à la main.
Son aspect carré et massif donne une impression de robustesse qui colle bien à mon SCX-10. J’ai installé pour le moment une galerie de toit provenant de chez « Gear Heads ». Des tas de détals manquent encore comme l’éclairage additionnel. Pour la carrosserie, j'ai déjà une idée en tête qu'il me tarde de réaliser, mais il me faut la peinture pour ça.


Et maintenant, mes questions !
Ce qui me freine pour le moment, c’est la manière de fixer la carrosserie à l’arrière, car juste derrière la cabine, j’ai découpé une plaque en plastique pour boucher le trou. Mais le tout est de savoir comment fixer toute la coque ?

Voici les dernières infos concernant mon truggy scale. L’arceau arrière a été décapé à l’acide chlorhydrique puis peint en gris avec de l’acrylique. Mais je vais peut-être le repeindre en noir.
Pour le moment, j’ai posé de chaque côté des plaques en carte plastique qui recevront bientôt une plaque en « grain de riz ».


Le support de batterie est fait et elle est soutenue par une pièce en aluminium constituant une véritable colonne vertébrale avec le support de l’électronique.


Ma dernière acquisition et dont je suis fier, concerne les jantes entièrement en alu de chez Topcad. Leurs designs sont très personnels, mais quelle gueule ! Le plus impressionnant reste le poids de ces 4 jantes réunies. La vendeuse du magasin m’avait prévenu, je n’en croyais pas un mot jusqu’à ce qu’elle me les passe en main. C’est vraiment du lourd ! En fait, l’anneau Beadlock explique en grande partie le poids de ces jantes.



Evidemment, on ne peut pas les comparer avec les modèles également Beadlocks en plastique de chez Pro-Line que j’utilisais jusque-là. Cependant, j’ai gardé les pneus Chisel du fabricant américain pour sa gomme bien tendre, et le montage sur les jantes n’a posé aucun problème, mis à part un temps assez long en raison du nombre de vis. D’ailleurs seules les vis du cache central de l’écrou de roue et les 10 vis situées autour sont nécessaires à enlever. Les autres micro-vis ne sont là que pour faire jolie car elles ne serrent absolument rien. Et pour couronner le tout, ces jantes me sont revenus à environ 40% moins cher par rapport aux RC4WD.

Et je me suis attelé à la peinture de la carrosserie, je voulais la finir avant de passer à l'installation du système d'éclairage, l'habitacle et les passages de roues. J'ai choisi le thème de la chasse, mais ce n'est pas très bien rendu. J'aurais voulu faire en sorte qu'il y ait un fondu entre le blanc et le noir, mais de toute façon certains détails seront rajoutés au pinceau et de la peinture à l'huile.



Et question croisement de pont, voyez le résultat :

Magnifique vraiment chapeau bas 

J'aime bien ton petit FORD....... 

Le seul petit truc , je trouve que le pont arrière est un peut trop en arrière... 

Mais se n'est que mon avis perso...

Merci les gars, et je trouve aussi que le pont arrière est trop en arrière. D'ailleurs les photos que vous voyez ici date d'il y a environ 3 semaines. Là en ce moment j'ai retravaillé mon SCX10 après une séance de test de roulage. Je vous en parlerais prochainement.

Faudrait que je réédite le titre du topic, car ce n'est plus une Ford mais une Chevy Blazer à présent.

 

putain !! pour de la reprise d'activité, ça c'est de la reprise !!!!!!!!!!

sympa le retour

Sympa le Chevy .... 

Bonjour à tous,

suite à une sortie en groupe à Franchard, servant en même temps de banc de test en condition réelle, j’ai alors pu noter un certain nombre de défauts dans mon choix des pièces, rendant alors mon Blazer K5 pas assez efficace. Les pneus Pro-Line ont une gomme très tendre, mais associés aux dernières jantes Beadlocks de chez Topcad, dont l’anneau central a été lesté exprès par le fabricant, je me retrouvais à rouler avec les pneus complètement écrasés, et ce malgré l’usage de mousses plus dures de chez RC4WD. En dévers, c’était catastrophique car il n’y avait plus aucune adhérence, comme lorsque vous roulez avec les pneus à plat.
La suspension était trop haute et réagissait mal en compression et en détente. Les ressorts choisis étaient les plus mous, mais c’était encore beaucoup trop ! Enfin, l’empattement était un peu trop long à mon goût, et ce même avec les 4 roues directrices.
Sur le plan esthétique, aspect dont j’attache une grande importance, il manquait des accessoires décoratifs inutiles et donc indispensables. De plus l’habitacle de ma conception avait du mal à supporter le poids de ma figurine, même en plastique. Et avec la batterie au Lipo Hardcase utilisée, les prises étaient orientées verticalement, poussant l’habitacle et la carrosserie vers le haut. En posant cette dernière, on sent alors la compression de tout ce qui se situe sous la figurine, et ça ne me plaisait pas beaucoup.
Tous ces points négatifs m’ont permis de réorienter mon modèle vers autre chose qu’un engin de trial « à l’américaine ». A la base, je m’étais inspiré des véhicules participant dans l’épreuve du « Top Truck Challenge », organisée tous les ans par le magazine « 4 wheeler Petersen’s ». Certes, c’est une source d’inspiration très intéressante, mais je sentais qu’il me fallait autre chose encore. Depuis ces trois derniers jours, le côté Australien de la force m’a interpellé à travers l’Outback Challenge, une compétition crée par les rangers locaux afin de mesurer leurs aptitudes en tout-terrain. Mais également la Malaisie - mon pays préféré au passage - avec le « Rain Forest Challenge », une chaleur humide et un terrain boueux dans une forêt luxuriante et abondante. Dans tous les cas, on distingue deux types d’engins, à savoir les 4x4 modifiés mais assez proche du véhicule de série en aspect, et les protos. Ces derniers sont reconnaissables à leurs plateaux arrière plats, c’est d’ailleurs une spécificité du marché australien. L’acheteur peut très bien demander à acquérir un pick-up sans la benne, de façon à pouvoir configurer son véhicule comme il l’entend. Dans l’Outback Challenge, les protos ont l’appellation de « tray back ».
Vous l’aurez sans doute compris, j’ai choisi de faire un compromis entre franchissement et vitesse. Les tray-backs sont de bons franchisseurs et rapides dans les longues lignes droites.



Les roues Pro-Lines.
Les Swampers ont une gomme très tendre et offre par conséquent une très bonne accroche. Mais ils étaient fournis d’origine avec les mousses très tendres dites à mémoire de forme, cette matière a une fâcheuse tendance à être très sensible à la température ambiante en réagissant différemment. Cette configuration doit être parfaite pour un crawler car étant plus légers, mais pour un scale j’ai préféré prendre les mousses des pneus RC4WD plus durs et plus constants dans leurs réactions.
Pour terminer, les jantes sont celles de Pro-Line encore une fois, pas forcément très belles mais elles sont légères tout en étant Beadlock, des jantes plus lourdes ne me serviraient à rien pour les raisons évoquées en introduction.

Les amortisseurs.
Au départ, j’avais choisi ceux du Axial Scorpion, des combinés classiques avec une course de 103 mm. En mettant les ressorts les plus mous, mon Chevy Blazer ne pouvait plus tenir sur ses roues une fois en dévers en raison d'une prise de roulis trop importante. Voilà pourquoi j’ai choisi de remplacer ces amortisseurs par les modèles G-Transition de chez Junfac. Ce n’est pas ma marque favorite, mais ils cherchent à innover dans leurs produits et cela se ressent. L’intérêt ici est de pouvoir régler la hauteur de caisse en jouant sur le placement des ressorts internes. Là j’ai choisi la configuration du « semi-drop » avec le petit ressort sous le piston, et le plus grand au-dessus.
Résultat final, en détente maximum j’obtiens la même longueur initiale, à savoir 103 mm, mais au repos l’amortisseur fait environ 90 mm et peut se comprimer encore de 7 mm. Donc en terme de croisement de pont, je ne perds quasiment rien, mais je gagne en abaissement de centre de gravité, bénéfique pour passer les obstacles difficiles.



Le train arrière.
Ayant choisi d’avoir les 4 roues directrices car c’est plus rigolo de rouler en crabe et pas seulement, j’ai fini par trouver inutile d’avoir un empattement aussi long. Ce n’est pas très beau et pas spécialement justifié. Voilà pourquoi j’ai décidé de raccourcir les tirants de pont sur une longueur impressionnante de….. 5 mm. Je préfère y aller progressivement.


La transmission.
Un point dont je n’ai pas trop apprécié, c’est le bruit. Je ne comprends pas pourquoi d’origine la transmission d’Axial est aussi bruyante ? On dirait que ça grince de partout. Du coup, j’ai commandé des pignons en acier de chez Axial, le kit comprend les trois pignons et dans la foulée j’ai changé la couronne de 87 dents. Celle d’origine me paraissait fatiguée au bout de trois ans d’utilisation épisodique. A présent, l’ensemble ne fait pratiquement plus de bruits.
Le moteur restera le 35 tours, offrant une bonne puissance et un couple correct, même si je le trouve un peu trop nerveux.


Les accessoires plus ou moins utiles.
Comme tout bon « scale », il me fallait rajouter des accessoires décoratifs absents lors de ma dernière sortie. Dans les objets utiles, je désigne l’ancre terrestre et les plaques de désensablages installés sur des supports faits maison. Ces éléments tiennent en place soit par un Velcro à boucle, soit par des chapes d’amortisseurs.




Et pour les équipements inutiles, le cric Hi-Lift, la pelle, la hache, le jerrycan d’essence, la fausse roue de secours provenant du HPI Trophy, et le radiateur de ma fabrication placé derrière la cabine.






Soudainement, un passager a décidé de monter à bord de mon engin. Je n'ai rien contre, j'adore les bêtes !



La carrosserie.
Je suis en train de trouver un moyen pour boucher le trou béant à l’arrière de la cabine mais sans l’attacher à la carrosserie. Quand je pars en tonneaux, la plaque en plastique se désolidarise.
Au sujet de l’habitacle, j’ai décidé de laisser de côté le mien devenu trop encombrant et lourd. A la place, j’ai mis celui du HPI Trophy encore une fois, craignant un peu pour sa taille car c'est du 1/12ème normalement, mais au final il s’avère parfaitement adapté à mon Chevy Blazer. Du coup, cela libère considérablement de la place sous l’habitacle et je gagne du poids. Les têtes des pilotes pourront être remplacées par celles de Tamiya, la différence ne se verrait même pas.




L'accessoire ultime étant le fusil à lunettes placé sur la vitre arrière.


J’ai découpé la fenêtre latérale côté conducteur, chose dont je me privais de faire par peur de fragiliser la carrosserie, mais cela permet de bien voir la présence de mes deux pilotes et co-pilote. Les essuie-glaces proviennent de chez Axial.


En guise de conclusion, il me tarde d’essayer mon scale. Avec un centre de gravité abaissé, des jantes plus adaptées aux pneus, et un allègement conséquent, il ne fait aucun doute que les performances devront être supérieures à la configuration de départ. J’avais tout misé sur la garde au sol et la souplesse des suspensions, mais cela ne fait pas tout. C’est même une grosse erreur pour un « scale » en tenant compte de son poids élevé par rapport à un rock-crawler bien affûté. Bon, ce n’est pas tout ça mais j’ai un avion à prendre pour l’Australie, et je ferai un détour vers Melaka en revenant…

j'aime l'autocollant sur le par brise

Ah ! Enfin quelqu'un qui l'a remarqué !

j'avais vu mais j'y comprend que dalle  

"If you can read this, roll me over !"

"Si vous arrivez à lire ceci, retournez moi !"

Crècrè bon  

Tony Truand a écrit:

"If you can read this, roll me over !"

"Si vous arrivez à lire ceci, retournez moi !"

Excellent ... 

Ayant un scx10 depuis quelques mois je m'interesse un peu aux differents evolutions possibles, histoire de voir ce que je vais pouvoir modifier dessus. et comme je suis en region parisienne moi aussi, on aura peut etre l'occasion de se croiser lors d'une sortie.
j'ai vu que tu avais mis une direction a l'arrière du tiens et tu as l'air de métriser le sujet. j'ai du mal a voir l'interet de tout ca surtout que visuellement c'est quand meme assez moche d'avoir des roues arrieres qui brakent beaucoup, meme si ça existe comme tu l'a montré en video sur certains 4x4. je ne demande qu'a etre convaincu. Mais si on veut etre pointilleux je doute que cela équipe les 4x4 de l'outback challenge. mais je n insiste pas vus sur quel ton tu as repondu au membre qui as deja donné son avis.

Colt Seavers a écrit:

mais je n insiste pas vus sur quel ton tu as repondu au membre qui as deja donné son avis.

Je ne vois pas trop de quoi tu parles, ma mémoire doit me faire défaut.

En tous les cas, tu as raison sur le fait que les engins de l'Outback Challenge n'ont pas de roues arrière directrices. Tout comme la présence d'une galerie de toit, tu noteras. Ce que je retiens comme idée, c'est le fait d'avoir une suspension plus basse et un moteur relativement puissant pour pratiquer le trial, à savoir le 35 tours en brushed. J'ai fait un mélange de toutes sortes d'influences, sans chercher à tout prix à reproduire un engin déjà existant. Mais plus important encore, j'ai envie avant tout de me faire plaisir.

Pour l'intérêt du 4 roues directrices, on peut rouler en crabe (je trouve ça rigolo), faire demi-tour dans un mouchoir de poche, placer au mieux mon engin sur un obstacle, et retrouver du grip dans certaines situations délicates.

du calme les enfants

Soyann a écrit:

du calme les enfants

Mais on est calme ici Ô Grand Maitre lol

Tony pour en revenir a tes 4 roues directrices je ne vois pas trop l'interet de rouler en crabe mais si ça te botte pourquoi pas. mais du coup comment tu fais pour ta direction arriere, tu a une radio 4 voies à manches avec un manche pour le servo arrière et l'autre pour l'avant?

Colt Seavers a écrit:

Soyann a écrit:

du calme les enfants

Mais on est calme ici Ô Grand Maitre          lol

tu sais, vaut mieux prévenir que guérir

Y'a pas de mal Soyann, nous nous sommes expliqués en privé avec Colt de façon posée, et tout va bien.



J'utilise pour ma part une Spektrum DX6i. Il fallait au moins ça pour commander les 4 roues directrices, les gaz, les phares et le treuil. Je gère la direction arrière comme je veux et sans passer par une fonction de "pré-programmation".